Dans le capitalisme intégral, la perte d’un emploi équivaut à la perte de l’assurance maladie. En d’autres termes, quand on a perdu son emploi on n’est plus couvert par une quelconque assurance.

Dans certains pays où le traitement n’est pas pris en charge par le gouvernement, Il y a un grand nombre de personnes qui ont été traitées et guéris ; ils  ont survécu mais se retrouveront avec d’énormes factures médicales. Il y a également un grand nombre de personnes décédées des suites du nouveau virus et leurs familles se retrouveront avec d’énormes factures médicales.

Ces factures resteront impayées, car  même les personnes qui ont une assurance ne pourront pas le faire, en raison de certaines clauses malicieuses (exceptions, abattements, franchises…) « dédouanant » les assureurs.

En matière de santé, la France, le Canada, l’Allemagne et la Suisse sont des modèles à suivre. Il est en effet insensé de prétendre que le marché peut à lui seul fournir des soins de santé efficace pour tous. Cela n’est tout simplement pas possible !

Tout ce qu’on peut obtenir d’un tel système – qui est énorme conspiration- c’est de soutirer de l’argent à des gens ordinaires pour le remettre à des gens bien mieux lotis. Ce système est un destructeur massif d’emplois et une source manifeste d’inégalités.

Briser les monopoles

La pandémie a paralysé de nombreuses économies, bien que les réouvertures et l’aide gouvernementale soient généralement à l’origine de la baisse du taux de chômage, qui reste cependant à un niveau encore élevé.