Si un associé ou un supérieur hiérarchique a un tel comportement, soit vous prenez les rênes, et demandez une augmentation, soit vous le renvoyez, gentiment, à ses responsabilités, en évitant de prendre les décisions à sa place.
Les personnalités passives-agressives
Elles ont tendance à discuter les ordres en permanence et à critiquer la hiérarchie, souvent de manière détournée : elles feront traîner les choses, bouderont, se plaindront d’être incomprises, ou injustement traitées.
Un employé qui présente ces symptômes ne doit pas être bousculé. Mais, ne faites pas semblant de ne pas remarquer son opposition, même systématique. Demandez-lui son avis le plus souvent possible.
Eviter d’entrer dans le jeu des représailles réciproques avec un associé ou un patron qui présente ces traits de personnalité. En revanche, il faut lui montrer qu’il a été associé à toutes les décisions.
Les personnalités hésitantes
Ce sont des hypersensibles, qui se maintiennent dans le rôle effacé ou à un poste inférieur à leurs capacités, de peur d’être critiqués ou ridiculisé. Ils évitent d’entrer en relation, s’ils ne sont pas assurés d’une bienveillance inconditionnelle.
Il faut proposer à ce genre de salariés des objectifs de difficultés croissantes. Il faut montrer que vous lui faites confiance et que la contradiction est normale dans la vie professionnelle. Si vous voulez leur faire une critique, commencez par un éloge général, puis ciblez votre reproche sur un point précis.
Un patron de cette trempe ne peut que travailler dans une administration publique. Ne vous énervez pas, et ne faites pas d’ironie à son propos. Assurez-le de votre soutien et prenez les décisions en évitant de lui faire peur.