Les scientifiques à l’origine de l’étude préconisent des restrictions plus strictes en ce qui concerne les particules de PM2,5 présentes dans l’air, qui pénètrent profondément dans les poumons lorsqu’elles sont inhalées.
Actuellement, la limite de sécurité moyenne pour les particules de PM2,5 dans l’UE est de 25 microgrammes par mètre cube d’air, soit plus du double de la recommandation de l’OMS qui est de 10.
Notis©2018
Sidney Usher
Sources: The european heart journal