Depuis plusieurs décennies, le géant de la Silicon Valley, « Google », a placé l’expression « Ne sois pas méchant » au centre du code de (bonne) conduite de son personnel.
« Ne sois pas méchant » a été ajouté pour la première fois au règlement intérieur de l’entreprise en 2000 et a été vulgarisé par les fondateurs de Google, Larry Page et Sergey Brin au fil des ans.
L’entreprise a consacré plusieurs paragraphes à cette phrase dans ce code.
Cependant, avec le temps, il semble que ce précepte ait perdu de son allant, « Ne soit pas méchant » ayant été rétrogradé, réduit en un seul mot (« nesoitpasméchant ») au bas du document, lors de la dernière mise à jour du document dans son ensemble.
Avant cette rétrograde, voici comment était exposé le principe sacro-saint « Don’t be evil » dans le livre de bonne conduite du géant omnipotent :
« Les Googleurs (le personnel de Google) sont censés appliquer ‘Ne sois pas méchant’ de la même manière que nos utilisateurs sont traités.
Mais « Ne sois pas méchant » est bien plus que cela. Oui, il s’agit de fournir à nos utilisateurs un accès impartial à l’information, de se concentrer sur leurs besoins et de leur offrir les meilleurs produits et services possibles.
Il s’agit aussi de faire ce qu’il faut de manière plus générale : respecter la loi, agir honnêtement, traiter ses collègues avec courtoisie et respect.
Le code de conduite de Google est l’une des façons pour nous de mettre en pratique le concept « Ne sois pas méchant ». Il est construit autour de l’idée que tout ce que nous faisons dans le cadre de notre travail chez Google ou ailleurs sera, et devrait être, conforme aux normes de conduite éthique les plus élevées possibles.