Avant la pandémie, le nombre moyen de privations graves par enfant était d’environ 0,7. On estime aujourd’hui qu’il a augmenté de 15 % pour atteindre environ 0,85.
Dans ce contexte, les gouvernements doivent donner la priorité aux enfants les plus marginalisés et à leurs familles, a souligné Mme Fore, en appelant à une expansion rapide des systèmes de protection sociale, y compris les transferts d’argent et les allocations familiales, les possibilités d’apprentissage à distance, les services de santé et l’alimentation scolaire.
« Faire ces investissements essentiels maintenant peut aider les pays à se préparer aux chocs futurs », a conclu la Directrice générale de l’UNICEF.
Notis©2020
Par Mary Maz
Sources : « L’impact de la Covid-19 sur la pauvreté des enfants », par le Fonds des Nations unies pour l’enfance (UNICEF) et l’ONG Save the Children.