La récession aux Etats-Unis a montré que dans la tempête fiscale, l’impôt foncier a été le seul impôt qui a bien résisté. En effet, il a augmenté en proportion du total des recettes publiques depuis 2007. En 2012, il était de 27 %, contre 24% 2007, et cela non pas parce que les gouvernements ont réévalué leur choix pour minimiser l’importance de l’impôt foncier, mais parce que les autres impôts ont été extraordinairement faibles.
Conclusion : dans les bons comme dans des mauvais moments de la vie d’une nation, l’impôt foncier demeure une source stable et efficace de revenus pour le trésor public.
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