La croissance neuronale se produit dans la période de «repos» entre les périodes de jeûne.

L’étude a montré que les souris étaient plus alertes et ont montré plus d’activité dans les zones de leur cerveau responsables de l’apprentissage et de la mémoire pendant la période de jeûne. C’est une fonction de survie importante.

Dans l’évolution de l’humanité, on peut supposer que les individus dont le cerveau ne fonctionnait pas bien à jeun risquaient de ne pas survivre. L’être humain a donc été obligé de manger par intermittence afin que le cerveau fonctionne bien et aussi pour sa survie. En temps de disette, le jeûne intermittent est une source d’espoir d’un lendemain meilleur.

Le Dr Mattson précise que les conclusions sur le jeûne quotidien des souris ne sont probablement pas applicables aux êtres humains, mais la recherche précédente a montré que les sujets s’adaptent relativement facilement au régime de jeûne. Le plus populaire est deux jours de jeûne chaque semaine.

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