Les voitures électriques ne seraient pas aussi « vertes » qu’on nous le laisse croire. En effet, ces véhicules à batterie lourdes génèrent des particules polluantes particulièrement dangereuses.
Les gains « écologiques » tant vantés du passage des voitures à essence et diesel aux voitures électriques seraient largement en deçà des espoirs suscités, en raison des émissions de CO2 qui ne sortent pas des gaz d’échappement.
Les voitures électriques sont généralement environ 20 à 30 % plus lourdes que leurs homologues à essence ou diesel.
L’usure des garnitures de freins et des pneus sur les routes sont plus importante qu’avec les véhicules essence et diesel, en raison du poids de la batterie des voitures électriques, qui génère à son tour plus de particules fines polluantes.
Les particules polluantes, connues sous le nom de PM2,5 sont considérées comme le type de pollution atmosphérique le plus dangereux, car elles peuvent pénétrer profondément dans les poumons et aggraver les maladies respiratoires.
Les PM2,5 contribue à des dizaines de millions de décès chaque année à travers le monde.
Le passage des véhicules diesel et à essence aux véhicules électriques mène donc plus vers une inconnue qu’une certitude écologique.
En conséquence, le passage aux voitures électriques doit s’accompagner d’une action « urgente » pour lutter contre les polluants qui ne sortent pas des gaz d’échappement.
Les voitures à batterie ne produisent aucune émission de gaz d’échappement. Cependant, les particules provenant de l’usure des freins, de l’usure des pneus et de la surface de la route contribuent à plus de la moitié de la pollution par les particules provenant du transport routier.