On y trouve de grands projets basés sur l’aménagement du terroir à large échelle (comme Antalya au sud de la Turquie) ou sur des programmes municipaux (comme Cancún ou Dubaï) et des cas décrivant des activités particulières, comme la protection de la nature en Namibie ou l’alpinisme au Kenya. De plus petits projets, généralement des îles, des stations balnéaires ou des activités touristiques (comme Nihiwatu, en Indonésie, ou Jungle Bay Dominica, aux Caraïbes) y sont également présentés.
Le rapport décrit de nombreuses expériences touristiques réussies en Afrique subsaharienne. Il invite les États à former des alliances avec le secteur privé, et le secteur privé à s’associer au gouvernement aux niveaux local, régional et national.
Ensemble, États et secteur privé peuvent planifier et développer l’infrastructure touristique nécessaire, accroître la transparence pour la propriété foncière et créer un environnement favorable aux affaires pour les voyagistes et autres entreprises.
Géré dans une optique de durabilité, le tourisme alimente la transformation économique, accélère les réformes, déclenche des améliorations au niveau de l’infrastructure, et renforce la position des femmes et des minorités dans toute l’Afrique.
Notis©2013–2024
par Mary Maz
Sources: www.worldbank.org