• En Russie, le pourboire s’appelle « na chaï » ce qui signifie «pour le thé». C’est une pratique courante mais il n’est pas obligatoire de laisser quelque chose aux serveurs, au personnel hôtelier et à toute personne ayant rendu service.

• Dans de nombreux pays d’Asie, le pourboire est rare, voire inexistant. À Singapour, les pourboires sont interdits dans les aéroports et déconseillés au restaurant et à l’hôtel. Au Japon, le pourboire peut être mal interprété et peut même offenser les Japonais qui ne veulent pas donner l’impression qu’ils font l’aumône. En Chine, après avoir été longtemps interdites, les gratifications en argent sont un peu plus répandues de nos jours, surtout dans les lieux touristiques. En Inde, les garçons de restaurants, porteurs, guides et chauffeurs reçoivent en général un pourboire. Mais c’est surtout le bakchich qui est utilisé, afin d’être servi plus rapidement au restaurant, pour obtenir une meilleure place dans le bus, ou faire accélérer les formalités.

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Sources : Les pourboires dans le monde