Les Composés organiques volatils, ou COV, sont des gaz émis dans l’air par des produits qui proviennent des émissions de diesel et de la combustion de l’essence. Selon l’Environnemental Protection Agency (EPA), le secteur des transports serait responsable de plus de 55 % de l’inventaire total des émissions de COV.
Les voitures ne sont pas les seules «sources mobiles » de pollution ; les gros camions, les bulldozers, les navires et les bateaux, les trains et même les souffleuses à neige polluent l’air.
Selon les localités, 25 % à 55%, des voitures et des camions sont à l’origine d’environ 90 % de la pollution du parc automobile. Le pourcentage de pollution de l’air causée par les voitures est plus élevé dans les zones urbaines et encore plus élevé à proximité des grands axes routiers.
Plusieurs études ont permis d’identifier les principaux polluants provenant des voitures :
Matière particulaire – un mélange de particules solides et de gouttelettes liquides présentes dans l’air, contribue à la brume atmosphérique et peuvent endommager nos poumons et pénétrer dans la circulation sanguine.
Monoxyde de carbone (CO) — les voitures émettent du monoxyde de carbone lorsqu’elles brûlent du carburant. Respirer de l’air avec une forte concentration de CO affecte des organes critiques comme le cœur et le cerveau.
Selon l’Agence Américain de Protection de l’Environnement, au moins 95 % de toutes les émissions de CO dans les villes proviendrait des gaz d’échappement des véhicules à moteur.
Dioxyde d’azote (NO2) — lorsque le carburant brûle, l’azote et l’oxygène réagissent l’un avec l’autre et forment des oxydes d’azote (NOx). Le dioxyde d’azote (NO2) se forme à partir des émissions des voitures, des camions, des autobus, des centrales électriques et des équipements hors route. Respirer de l’air avec une forte concentration de NO2 peut affecter le système respiratoire.