Les plus grandes banques permettent aux criminels et aux frondeurs de virer de l’argent sale à travers le monde entier, en toute impunité.
Ces informations sont continues dans des dossiers financiers qualifies de « secrets les mieux gardés du système bancaire international».
Ces documents bancaires, finalement publiés par le Consortium international des journalistes d’investigation, détaillent le blanchiment d’au moins deux milliards de dollars provenant de transactions douteuses.
Les Fichiers FinCen
HSBC est l’une des nombreuses banques internationales dont le nom apparaît le plus dans la liasse massive tenue au secrets par le gouvernement américain. Ces fichiers montrent que HSBC a continué à transférer des fonds vers des comptes à Hong Kong des mois après avoir été averti d’une transaction très douteuse d’une valeur de 62 million de livres sterling. Lorsque la plus grande banque du Royaume-Uni a fermé les comptes des fraudeurs, ils avaient déjà été vidés.
En réaction à cette révélation, HSBC a déclaré dans un communiqué que «toutes les informations fournies par le consortium sont d’ordre historiques», réitérant son engagement à “revoir sa capacité à lutter contre la criminalité financière” ».
Outre HSBC, les autres banques internationales qui apparaissaient le plus souvent dans les documents dont, notamment, JPMorgan, Deutsche Bank, Standard Chartered et Bank of New York Mellon.
Les cas avérés
Parmi les types de transactions mis en évidence par le rapport on note:
*les fonds traités par JPMorgan au nom et pour le compte des particuliers et société potentiellement corrompus au Venezuela, en Ukraine et en Malaisie;