Dans les salles de la colère, des spécialistes apprennent aux travailleurs, notamment, qu’il y a « des endroits où nous devons accepter les insuffisances des autres. Acquérir les meilleures aptitudes adaptées au monde professionnelle passe par un travaille en profondeur et avec les autres. »
Savoir partir
La colère est libératrice si elle se construit sur une base saine. Il est parfois préférable d’évacuer par la colère l’irritation et l’énergie négative générée par les circonstances du lieu de travail. Une fois qu’elle est exprimée, il faut – dans le feu de l’action- commencer une nouvelle recherche d’emploi. La colère pousse souvent à tourner la page, à faire « le grand saut ». C’est un combustible pour une vie meilleure dans un meilleur cadre de travail. Si elle n’est pas facilement résolue ou libérée dans un milieu donné, la seule alternative reste la sortie.
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