La colère se manifeste de façon diverses et variée. La frustration mineure de travailler avec un superviseur incompétent et ennuyeux peut conduire à des réactions agressives, parfois meurtrières. Il est donc important de détecter la cause de cette colère afin mieux la canaliser
Evacuer
Selon, les experts, l’évacuation de la colère n’est efficace que si nous nous engageons dans un cycle de « ventilation et de libération ». Par exemple, faire une « ventilation » avec des amis loin du lieu de travail, peut être d’un grand secours. Ainsi partagé, le fardeau devient moins lourd à supporté et la colère s’estompe plus facilement. En revanche, l’obsession et le fait de ruminer sur l’injustice ou le ressentiment à propos d’un fait insupportable est malsain. Cela peut conduire à une situation psychologique catastrophique.
Plusieurs études ont montré que celle ou celui qui est « accroché » à la colère fait du mal à son bien-être. C’est pourquoi, les experts en coaching préconisent la mise en place d’un « système de soutien », consistant soit à « ventiler » en compagnie de collègues en dehors du travail, pour ensuite de développer les moyens de modifier les circonstances qui sont la cause de cette colère, soit tout simplement se résigner en acceptant la situation comme « inéluctable »
Rester zen
La culture d’entreprise d’aujourd’hui vise à répondre à un large éventail de besoins des employés afin qu’ils aient un moral positif et le sentiment d’une satisfaction au travail. Les entreprises les plus innovantes soignent le cadre de travail de leurs employés en mettant à leur disposition des équipements tels que sur les garderies, des centres de fitness, des tables de ping-pong, des salles de piscine, des cours de yoga, des salles de méditation et maintenant des « salles de la colère »!
