Même s’il y avait un remède miracle, le coût de la recherche et le poids du stress seraient forcément disproportionnés. C’est comme ces savons avec lesquels on se lave tous les jours. C’est comme une loterie : Nous vivons, nous mourons.
*« Lisez ce chapitre dans la Bible, ça va vous aider. »
Un tel propos est à la fois grossier et offensant, voire maladroit et arrogant. Si un malade en phase terminale veut des conseils religieux, il demandera un prêtre. S’il ne le demande pas, alors de grâce…
« Je te réveille? »
Ceci est la phrase que prononce un passif-prédateur. Ce sont des genres de banalité qu’on écrit dans un chat, ou conversation électronique. De même, il est stupide d’appeler et ensuite pleurer au téléphone. Si vous vous sentez les larmes, coupez le téléphone, attendez dix minutes, puis rappeler. Les larmes sont bien, mais elles relèvent le plus souvent de l’auto-apitoiement. L’émotion rend le malade encore plus vulnérable.
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