Il y a aussi des concerts et des groupes qui n’ont jamais été enregistrés, parmi lesquels le quatuor monté par Gary à New York avec Tim Hagans, Vic Juris et John Riley. Bien que j’aie entendu ce groupe pour la dernière fois il y a des années, la musique qu’elle joua ce jour là résonne toujours dans ma tête.
La vie est courte et définitivement impermanente. Nous perdons quelque chose, mais nous ne pouvons jamais vraiment tout perdre. Les contributions de Gary Peacock au jazz et à la façon dont la basse est jouée sont là et le resteront.
Notis©2020
*Par Marc Copland,
Traduit par Sidney Usher