Françoise Hardy a également révélé que sa grand-mère avait constamment miné son adolescence :

« Elle m’a dit tout au long de mon enfance que j’étais laide et que j’étais la pire créature sur terre. J’avais peur de ne jamais rencontrer personne et de devenir religieuse »

Les dernières années de la chanteuse ont été gâchées par la maladie. Elle a été plongée dans le coma provoqué à un moment donné, avant que sa vie ne soit sauvée par une nouvelle forme de radiation contre le cancer.

Elle a été l’une des principales défenseures du suicide assisté vers la fin de sa vie, déclarant qu’il était « inhumain » pour la France de ne pas légaliser cette procédure controversée : « Il n’appartient pas aux médecins d’accéder à chaque demande, mais d’abréger les souffrances inutiles d’une maladie incurable à partir du moment où elle devient insupportable. »

Au-delà de ses compositions, Françoise Hardy a brillé dans le mannequinat, Yves Saint Laurent et Paco Rabanne lui ont confectionné des tenues spécialement taillées pour elle.

Elle a également honoré le grand écran, jouant dans une série de films, dont « Château de Suède » (1963), « Une balle dans le cœur » (1965) et « Grand Prix » (1966). Son dernier film fut « S’il fallait le refaire » (1976) de Claude Lelouch.

Notis©2024

Par Mary Maz