Des doutes certains
Cependant, l’ancien et futur président n’a pas défini de politique ou de position claire à l’égard de l’Afrique, il est donc difficile de prédire comment il procédera.
Il est également difficile de prédire si le nouveau locataire de la Maison-Blanche adoptera une position plus décisive sur certains des conflits armés et des crises les plus insensées d’Afrique, au premier rang desquels la guerre civile au Soudan, décrite comme l’une des pires catastrophes humanitaires au monde.
Dans l’ensemble, les réponses africaines à l’élection de Trump reflètent un optimisme prudent.
Des personnalités de premier plan comme le président égyptien Abdel Fattah el-Sisi et le Premier ministre éthiopien Abiy Ahmed n’ont pas tardé à féliciter Trump lorsque sa victoire a été annoncée, se désignant probablement comme des « partenaires compétents ».
Les dirigeants ougandais et sud-africains ont également fait écho à leur soutien.
La présidente du Parlement ougandais, Anita Among, a suggéré que le retour de Trump pourrait alléger les sanctions contre les responsables africains imposées par l’administration Biden, tandis que le président sud-africain Cyril Ramaphosa a exprimé son optimisme quant à la collaboration, en particulier avant la présidence sud-africaine du G20 en 2025.
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Par Sidney Usher
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