2. Se préparer au pire
Si tout laisse présager la catastrophe dans un proche avenir, il est temps de sortir le parapluie ou activer le parachute. En effet en cas de notification du licenciement ou mis à pied, il est très probable que le salarié soit invité à partir immédiatement. Si vous êtes autorisé à retourner à votre bureau pour récupérer des objets personnels, l’accès à votre ordinateur de bureau sera bloqué.
Alors commencez, dès les signes de calamité se pointent, à penser à ce que vous devriez emporter: coordonnées des amis, références de site, statistiques ou toutes autres informations utiles susceptibles de renforcer les entretiens d’embauche futurs. Veillez simplement à ne rien prendre de confidentiel ou à ce que vous n’ayez signé aucun accord de ne prendre quoi que ce soit.
C’est également une bonne idée de prendre un dernier rendez-vous médical avant que votre assurance maladie ne soit caduque.
De même, assurez-vous que votre compte d’épargne dispose d’un fonds d’urgence en bonne santé: assez d’argent pour passer quelques mois (trois à six, selon les experts) sans votre salaire habituel. Cela rendra les choses beaucoup moins stressantes lorsque le marteau du licenciement s’abattra sur vous.
3. Négocier la porte de sortie
Lisez les textes de lois, y compris le règlement intérieur. Vous pourriez y trouver des informations sur la procédure de licenciement. Cela vous donnera une idée claire sur le contenu du solde de tout qui vous sera versé. Il est facile d’oublier ce type de « logistique » lorsque vous êtes dans la réunion fatidique précédant un licenciement. En y pensant à l’avance, vous seriez bien préparé pour tirer profit de certaines failles de procédure.